Ceux que souhaitent les associations, c'est de pouvoir se projeter sur plusieurs années avec un financement pluriannuel et partagé par l'ensemble des financeurs (sur des règles budgétaires plus cohérentes et simplifiées).
Il est difficile de pouvoir évaluer des actions sur une année lorsque l'on travaille avec des personnes. Comment évaluer l'impact d'une action sur un an dans le social. L'appel à projet même s'il est simplifié pour 2014 ne garantit pas de pérennité pour les associations et leurs actions.
Et ce système par dispositifs pas toujours complémentaires les uns des autres ne fait que de mettre les associations en concurrence entr'elles. Au final, pas plus de moyens financiers et humains (avec la fin des contrats aidés par l'état et les collectivités). Les besoins sont de plus en plus importants pour les quartiers et les moyens se réduisent comme une peau de chagrin.
La politique de la ville s'adapte aux assos
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REGIS DARRAS
le 20/09/2013 à 08:07Ce qu'il faut avant tout : de vrais services publics, bien dotés, avec du personnel qualifié et de vrais statuts !
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Romain Ladent
le 17/09/2013 à 21:09Ceux que souhaitent les associations, c'est de pouvoir se projeter sur plusieurs années avec un financement pluriannuel et partagé par l'ensemble des financeurs (sur des règles budgétaires plus cohérentes et simplifiées).
Il est difficile de pouvoir évaluer des actions sur une année lorsque l'on travaille avec des personnes. Comment évaluer l'impact d'une action sur un an dans le social. L'appel à projet même s'il est simplifié pour 2014 ne garantit pas de pérennité pour les associations et leurs actions.
Et ce système par dispositifs pas toujours complémentaires les uns des autres ne fait que de mettre les associations en concurrence entr'elles. Au final, pas plus de moyens financiers et humains (avec la fin des contrats aidés par l'état et les collectivités). Les besoins sont de plus en plus importants pour les quartiers et les moyens se réduisent comme une peau de chagrin.
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